Échec organisationnel

L’autodestruction de l’être humain – une évaluation des risques environnementaux

Objectif

Ce site considère l’être humain lui-même comme un facteur environnemental – à la fois responsable, concerné et décideur.
Il montre que la plus grande menace pour l’environnement ne réside pas dans des substances ou des technologies particulières, mais dans un système fondé sur une conception erronée de la liberté, un manque d’éducation et une responsabilité insuffisante.
L’objectif est de faire prendre conscience que la véritable protection de l’environnement ne peut fonctionner que si elle occupe une place centrale dans la société, c’est-à-dire si elle prime sur tous les autres domaines et ne se contente pas d’être à leurs côtés.
*** Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) ***


Champ d’application

Cette évaluation concerne tous les domaines de la vie et de l’économie :
l’industrie, la politique, la science, l’éducation, la consommation et la culture.
Elle sert de base à une correction systémique de nos actions, en particulier là où la « liberté » est pratiquée sans responsabilité.


Termes

Liberté dangereuse : liberté qui met en péril la survie ou les moyens de subsistance.

Liberté : capacité d’agir en étant conscient des conséquences.

Risque environnemental systémique : risques qui ne résultent pas d’actions individuelles, mais de structures collectives.

Fonction environnementale : principe organisationnel selon lequel la protection de l’environnement dispose d’un pouvoir décisionnel supérieur.


Compétence

Chacun est responsable, que ce soit dans les domaines de l’éducation, de la recherche, de l’économie ou de la politique.
La coordination et le contrôle doivent être assurés par des compétences environnementales institutionnalisées, comparables à l’audit interne ou à la sécurité au travail :

  • Au niveau des entreprises : des responsables environnementaux dotés d’une fonction d’état-major.
  • Au niveau de l’État : des ministères de l’Environnement disposant d’un droit de veto sur les décisions ayant un impact sur l’environnement.
  • Au niveau de la société : des établissements d’enseignement tenus de transmettre des connaissances sur les systèmes écologiques.

Description

Notre démocratie occidentale est en difficulté :
elle accorde des libertés qui, sans connaissance ni responsabilité, mènent à l’autodestruction.
Exemples :

  • Production et utilisation d’hydrocarbures hautement fluorés malgré leur persistance connue.
  • Autorisation d’antibiotiques et de désinfectants comme herbicides.
  • Colorants cancérigènes dans les médicaments.
  • Augmentation de la consommation comme indicateur de prospérité.
  • Incitations commerciales à court terme qui favorisent les dommages à long terme.

Le système récompense l’innovation, la croissance et la rapidité, et non la durabilité, la prudence ou la responsabilité.
L’éducation enseigne le savoir, mais rarement la sagesse.
La liberté est confondue avec l’absence de limites.
Il en résulte une perte collective de réalité, dans laquelle même les chimistes, les ingénieurs et les politiciens prennent des décisions dont ils connaissent les conséquences destructrices, mais qu’ils refoulent de manière systémique.


Documents applicables

Règlement EMAS (en particulier les exigences relatives aux systèmes de management environnemental)

Déclaration de Rio sur l’environnement et le développement (1992)

Objectifs de développement durable des Nations unies (ODD 12, 13, 16)

Pages portail dédiées à la formation, à la responsabilité, à la communication et aux erreurs système


Documentation

L’évaluation des risques environnementaux pour l’être humain constitue la base des chapitres suivants :

  • « Libertés dangereuses »
  • « L’éducation comme facteur de survie »
  • « L’éthique dans la science et la technologie »
  • « De la croissance à la sagesse »

Ces pages ont pour objectif de donner une image complète du danger environnemental systémique et de montrer les moyens d’y remédier.


Direction

À l’avenir, toutes les mesures, décisions et innovations devront répondre à la question suivante :

« Cela contribue-t-il à préserver les ressources naturelles ou cela les met-il en danger ? »
Si cette dernière hypothèse est même seulement probable, le principe de précaution s’applique.
La protection de l’environnement n’est pas un aspect secondaire de l’économie, mais un principe directeur suprême.


Annexes (exemples de libertés dangereuses)

Production de substances toxiques persistantes (par exemple les PFAS)

Commercialisation de technologies de manipulation psychologique

Consommation irréfléchie entraînant une utilisation excessive des sols

Système éducatif sans ancrage écologique

Absence de responsabilité pour les dommages écologiques consécutifs



Revision: 1Erstellt/Geändert:Geprüft:Freigegeben:Gültig ab:
Datum:10.11.202510.11.202510.11.202510.11.2025
Unterschrift:Beauftragter/ChatGPTAufsichtsratVorstandBeauftragter